Le paramoteur, outil idéal pour la photo aérienne – Pascal Bourguignon
MINI PUBLIREPORTAGE
F1, the Fast One, dernière aile paramoteur haut de gamme d’APCO
La nouvelle norme pour les ailes réflexes hautes performances.
Vidéo réalisée en collaboration avec le cinéaste professionnel canadien Cynthia Lecompte venu en Israël avec son partenaire Greg Anthony Harris.
La vidéo a été filmée dans la région de la mer Morte dans un endroit nommé le plateau d’Amiaz qui se caractérise par plusieurs grottes appelées grottes de farine, en raison de leur sable qui est identique à la couleur et à la texture de la farine, créant un paysage impressionnant.
En savoir plus sur la voile APCO F1
Pascal Bourguigon
Interview du photographe Pascal Bourguignon
Pascal, peux-tu nous décrire pourquoi tu as choisi le paramoteur pour la photo aérienne ?
Habitué à la photo aérienne en ULM avec un ami pilote, j’ai rapidement compris ce que pouvait apporter le paramoteur quand sa pratique s’est démocratisée.
– Une totale autonomie, sans dépendre de la disponibilité d’un pilote, ce qui veux dire plus de contrainte horaire et plus de compromis sur la lumière.
– Une rapidité de mise en oeuvre n’importe où et, si besoin, en décollant à proximité du sujet à photographier.
– Un placement idéal en vol, une approche lente, idéale pour la photo aérienne, avec possibilité de tourner dans un mouchoir pour revenir rapidement sur le sujet, en variant l’altitude au besoin.
– Un coût horaire (une fois qu’on a le matériel) dérisoire (je vole avec un moteur 4 emps et consomme environ 2,5 l/h).
Cela me permet d’emporter mon paramoteur partout où je me déplace sur un porte vélo fixé à la boule d’attelage et d’être prêt à voler en moins de 10 minutes. Il me permet de réaliser mes commandes clients (illustration, tourisme, réserves naturelles ….) et mes images personnelles.
Quelles sont les photos aériennes que tu réalises principalement en paramoteur ?
J’affectionne particulièrement les photos d’arbres et de forêts, vu du dessus, mais surtout les images graphiques, voire abstraites, où l’on perd tout repère et où on peut laisser libre cours à son imagination.
Mes images sont principalement réalisées sur le Lac du Der en Champagne où j’habite, un formidable milieu par sa biodiversité mais aussi pour son aspect changeant grâce a des hauteurs d’eau sans cesse différentes (c’est un lac réservoir qui sert de tampon pour régulariser la Seine). Et en Bretagne où j’aime survoler ces étendues de baies où se mélange le sable et la mer en fonction des marées.
Quel est le matériel utilises-tu pour tes photos aériennes ?
Ambassadeur Fujifilm France, je peux emporter le meilleur matériel pour produire mes images aériennes : un moyen format (surface de capteur presque le double du 24×36) en 50 Mpix, de quoi réaliser des agrandissements géants superlatifs.
Et si la résolution n’est pas encore suffisante, vu la faible vitesse de vol, j’arrive à réaliser des panoramiques par assemblage de plusieurs vues successives pour une résolution finale de plus de 100 Mpix !
Photos aériennes en Champagne Ardennes
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Photos aériennes au dessus du lac de Der
Le lac du Der est un des plus grands lacs artificiels d’Europe avec des paysages incroyables et une faune très variée.
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Photos en Bretagne
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Julien Meyer de passage en Bretagne
Julien Meyer, de l’équipe de France, a été photographié par Pascal Bourguigon lors de son passage en Bretagne.
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