Réflexions autour du choix d’un parachute de secours et de sa taille
Photo ci-dessus, le X-Dreams Fly, dernière génération de parachute de forme triangulaire
SOMMAIRE
Introduction
1- Définition du parachute de secours selon la norme
Paramètres d’un test / Test structurel / Test en vol / conclusion
2- Dans les faits, cela soulève un certain nombre de questions
3- Taux de chute et charge alaire
Bien choisir le secours adapté à son PTV / Souvent, les constructeurs n’indiquent pas de PTV min
4- Et l’interaction avec la voile dans tout ça ?
Pour positiver un peu / Les moniteurs eux-mêmes ne font pas d’efforts…
5- Les bases d’un achat réfléchi
Alternatives au parachute rond : le Rogallo / Le carré / Le rond carré et le triangle
Conclusion
Introduction
L’achat d’un secours n’est pas toujours chose facile. Souvent, le plus simple reste de faire confiance à son revendeur préféré ou d’écouter les conseils avisés de ses moniteurs, mais lorsque le budget est limité, ou lorsque l’on a quitté le nid de son école, comment s’y prendre ?
A ce jour, il existe un problème autour des secours… Les discussions entre pilotes tournent la plupart du temps autour de 3 indicateurs, certes importants, mais qui ne sont pas les seuls à prendre en compte :
- Le poids
- Le prix…
- Dans le meilleur des cas, le PTV max
- Depuis peu, éventuellement la forme
Ces notions vont contenter la seule idée de mettre un parachute, à priori de taille adéquate, au fond de sa sellette, et ainsi de se rassurer quant au fait d’emporter avec soi le sacro-saint parachute de secours ; tout en étant satisfait du rapport prix VS poids en fonction de la taille de son portefeuille. Ok, mais si nous parlions un peu de l’éventuel moment où cet achat pourrait nous servir et jouer son rôle initial : nous sauver les fesses !
Cet article aura pour objectif de parler de quelques indicateurs qui devraient AUSSI orienter notre choix lors de l’achat. Après tout, même en étant bien conseillé, cela peut être sympa de comprendre pourquoi on achète quoi !
1- Le parachute de secours selon la norme
Entre en compte un certain nombre de paramètres tout aussi importants :
– Le PTV max, mais comment charger intelligemment son secours ?
– La stabilité pendulaire
– Le taux de chute
– La cohérence voile / secours.
Nous avons heureusement une norme européenne sur laquelle nous pouvons nous reposer, et qui est censée nous garantir que le produit fonctionne correctement. Voici ci-dessous un résumé de ce qu’implique la norme EN 12491.
Définition selon la norme
Dispositif d’urgence destiné à ralentir la chute du pilote en cas d’incident de vol, et dont la mise en oeuvre est effectuée par le pilote de façon manuelle et volontaire. Il peut être dirigeable ou non.
Précisons que pendant l’homologation :
La qualité d’air : l’objectif est d’obtenir une qualité d’air se rapprochant le plus possible de celle de l’atmosphère standard en terme aéronautique 1013 hpa et 15°. Si ce n’est pas le cas, une formule de correction est appliquée pour compenser.
Le déplacement horizontal sous secours doit être inférieur à 5 m/s (maxi 20km/h de vent)
L’humidité dit se situer entre 40 et 80%
L’interaction voile-secours : afin de pouvoir créer un test objectif et dont la répétition est possible, la voile principale est larguée afin qu’elle n’interfère pas dans les mesures.
Le PTV des tests se rapproche au plus près du PTV max déclaré par le constructeur
A – Test structurel
Une charge égale au PTV max suggéré par le constructeur est larguée à 40 m/s (144 km/h) d’un avion avec le parachute → la chaîne complète du parachute (élévateur, cône, tissu) doit résister, et ne présenter aucune déformation permanente suite à ce test. Lors de ce test, le “choc à l’ouverture” doit être inférieur à 15g.
B – Test en vol
Le parachute est déployé depuis le vol droit, le parapente est largué lorsque le pilote d’essai juge obtenir un maximum de pendule (le parapente tire et s’oppose). Seront observées trois choses :
Le temps d’ouverture doit être inférieur à 5s,
Le choc à l’ouverture ne doit pas excéder 15g,
La stabilité pendulaire (observation depuis le sol, de la stabilisation des mouvements pendulaires), un parachute trop instable sera recalé (et de toute façon, l’instabilité augmente le taux de chute… )
Taux de chute : après une chute minimale de 100m, la mesure s’effectue sur les 30 derniers mètres avant “amerrissage” → Max 5,5m/s.
En conclusion
Un secours qui passe l’homologation EN est censé s’ouvrir vite, mais pas violemment, rejoindre un vol stable et vertical après ouverture (déjà plus subjectif selon le contexte), et nous ramener au sol à moins de 5,5m/s (soit 20km/h, ou une chute de 1,54m de hauteur).
Tout cela, et nous arrivons alors aux limites inévitables d’une norme, dans un air lisse, calme, sans vent ou presque, et avec une voile larguée. Et ne jettons surtout pas la pierre à la norme, il est impossible de faire autrement, le principe même d’une norme est d’obtenir un test reproductible ! Sinon, ça n’aurait aucun sens.
2- Et dans les faits, cela soulève un certain nombre de questions
“Ah oui, mais alors ça donne quoi quand l’air est perturbé ?!”
“Ah… mais je n’ai pas de mousquetons largables, et de toute façon, je ne suis pas sûr que j’aurais le temps ou la lucidité de m’en occuper… ça implique quoi du coup ?!”
Ca marche pareil avec toutes les voiles ?
Et si je tire un secours alors que je suis sous le vent d’un relief ?
Les tests sont réalisés à PTV max, alors ça donne quoi à PTV min ?
Comment le constructeur détermine t il son PTV Min ?
Pourrait-on avoir un tableau des taux de chute à différentes charges… En atmosphère standard ?
Plus inquiétant, ce tableau de 2009, que Laurent Van Hille a pris soin de conserver en ligne sur son site Les Choucas (cliquez sur l’image à droite).
Difficile de trouver la véritable origine de ce tableau, mais a priori, Air Turquoise (organisme d’homologation) aurait réalisé une série de tests avec des produits issus directement du marché (et non ceux qui sont envoyés pour homologation… ); et la FFVL et le SHV (Suisse) communiquent à l’époque les résultats de ces testq qui sont pour certains effrayants. Ce que l’on peut en retirer :
– Quid d’une telle différence entre réalité et homologation?! La réalité est sans appel, il s’agirait bel et bien de produits qui ne correspondent pas à leur étiquette d’homologation.
– Les temps d’ouverture sont presque tous largement inférieurs à 5s, voire inférieurs à 3s.
– Certains taux de chute font froid dans le dos…
On constate clairement que le taux de chute est directement relié à la stabilité pendulaire, dont la note va de 1 à 5 (5 étant la meilleure, mais impossible d’obtenir des informations précises sur les critères de notation de ce test).
D’après Vincent Teullier, responsable de AEROTEST (laboratoire de test de la FFVL), la situation s’est améliorée depuis 2009, et plus rares sont les produits dont l’étiquette d’homologation ne correspond pas au produit sur laquelle elle est cousue, mais cela aurait donc été le cas parfois…
Cela amène deux réflexions :
- Il existerait bel et bien des secours sur le marché (au moins d’occasion) qui ont des performances plus que limites et il conviendrait de faire attention aux modèles douteux, peu vendus, ou alors connus comme ne remplissant pas pleinement leur fonction initiale, en tout cas à charge maximale…
- Il serait très intéressant qu’une nouvelle série de tests soit réalisée avec les derniers produits du marché, et notamment les nouvelles formes disponibles aujourd’hui. Nous serions heureux d’y constater un delta de performances bien inférieur à celui constaté en 2009…
François Ragolski (champion du monde de voltige), qui a donné de sa personne avec non moins d’une quinzaine de secours en réel, a tiré des enseignements de ses nombreux “jokers”, et ce qu’il en ressort :
– Le taux de chute est primordial (la stabilité pendulaire aussi, mais ces deux paramètres sont interdépendants, comme nous le prouvent les tests de 2009). Selon François, 5,5 m/s est déjà un chiffre limite… S’il est possible d’avoir moins, c’est vraiment mieux.
– Un bon taux de chute nous sauvera très probablement la vie ; en revanche, un taux de chute élevé augmente considérablement les risques de blessures.
– Plus il y a de tissu au dessus de la tête, mieux c’est ! La charge alaire est liée au taux de chute…
– Partant de ce principe, il ne jure que par le Rogallo (secours dirigeable, 130kg max, 41,75m²), qui semble être la forme actuelle la plus performante en terme de taux de chute.
– La notion du temps d’ouverture est très subjective, car sur un même produit, il semble impossible d’obtenir toujours la même chose. Selon la configuration de la procédure de secours, cela va passer du simple au triple…
– François insiste : ”A ce prix au m² de tissu, il serait appréciable que les constructeurs respectent les utilisateurs et ne commercialisent pas des produits qu’ils n’oseraient certainement même pas tirer eux-mêmes au dessus du sol…” → ça… c’est dit !
– En résumé, le taux de chute doit être pris en considération avant le poids de votre parachute de secours… Gagner 300 grs et risquer de se casser le dos n’est pas une très bonne idée.
3- Taux de chute et charge alaire
Même si la conception du parachute, sa forme, à priori même la nature du tissu sont des paramètres qui influent sur le taux de chute ; en partant du principe que le parachute est stable (on en a parlé plus tôt, un parachute qui oscille ne permettra pas d’obtenir un taux de chute correct) ; l’élément qui resterait le plus important serait bel et bien la charge alaire (rapport poids/surface, exprimé en Kg/m²)
Ainsi, il peut être intéressant de comparer lors de l’achat le rapport proposé par le constructeur entre PTV max et surface… En comparant une quarantaine de secours disponibles sur le marché actuel, on obtient une moyenne de charge alaire aux alentours de 3,7 kg/m². La fourchette va de 3 à 4,5… Nous remarquons aussi que les Xtra-lights en petites tailles sont souvent dans l’extrême en terme de charge alaire.
Mais le plus simple serait peut être tout simplement de se placer soi-même intelligemment dans la fourchette de PTV ! Exemple : mon constructeur préféré me propose un modèle de 36,2 m², avec un ptv max de 120, soit 3,7 kg/m² ; mais si je me place dessous à 100 kg, on passe à 2,75 !
Bien choisir le secours adapté à son PTV
Fabien Blanco (FLYEO – école de pilotage sur Annecy) conseille de se placer du milieu au 80% de la fourchette de PTV recommandé par le constructeur. Il attire également notre attention quant au problème de sous-charge (bas de fourchette, voire hors PTV par le bas), car cela génère des problèmes de stabilité… Car oui, il en a vu des élèves débarquer en SIV avec le secours d’un copain qui fait 30kg de plus… !
Le problème : souvent, les constructeurs n’indiquent pas de PTV min…
Une solution serait peut-être tout simplement d’essayer de viser une charge alaire d’environ 3. Cela serait une bonne base de travail, saine et logique. Pour les paresseux du calcul… Voici un exemple de tableau PTV pilote / surface “recommandée” pour une charge alaire raisonnable :
| PTV pilote (Kg) | Surface pour une charge alaire de 3 (m²) |
| 70 | 23,3 |
| 80 | 26,6 |
| 90 | 30 |
| 100 | 33,3 |
| 110 | 36,6 |
| 120 | 40 |
| 130 | 43,3 |
| 140 | 46,6 |
4- Et l’interaction avec la voile dans tout ça…?
Pour positiver un peu
Voile + secours = plus de traînée qu’un secours seul = logiquement meilleur taux de chute. Mais cela est valable si la voile et le secours ne s’opposent pas (mise en miroir), et que l’ensemble est stable. Lors des ouvertures volontaires en SIV, on constate régulièrement cette situation dangereuse, mais cela est d’autant plus probable que le secours est tiré depuis un vol droit…
La situation réelle la plus classique d’ouverture de secours serait la fermeture asymétrique, suivi d’un shoot asymétrique, d’une cravate, d’une autorotation non contrôlée → et du secours. Dans ce cas là, il est moins probable de finir en miroir, la voile étant déjà un peu fermée.
Tout cela n’empêche pas de bien mentaliser, répéter et discuter des actions à mener lors d’une procédure de secours afin que, le jour-J, ce ne soit pas une découverte mais un automatisme.
Les moniteurs eux-mêmes ne font pas d’efforts…
Comme le “confesse” Jérôme Canaud, un de nos experts : “Malgré mon passif de testeur-homologateur et mon expertise sur le matériel, je dois avouer que mes critères de choix d’un secours sont principalement orientés sur le meilleur rapport poids/ptv-max. Je ne regarde que peu les performances (stabilité/taux de chute/ptv optimal) et fais confiance au produit homologué EN. Pour me justifier : je considère les paramètres d’utilisation énormément aléatoires (aérologie, emmêlage avec la voile, zone d’impact) et plus importants que les performances théoriques du secours« .
Alors oui, nous sommes d’accord, le meilleur secours reste “l’intellect”, ou l’analyse, ou tout simplement une pratique réfléchie en évitant de se mettre dans des situations irrécupérables… Mais personne n’est à l’abri de faire une erreur, et il faut l’avouer, rares sont les pilotes pouvant se vanter de ne jamais avoir expérimenté une situation sujette à une éventuelle procédure de secours en parapente…
Quitte à emmener un poids supplémentaire avec soi, quitte à dépenser une somme d’argent non négligeable, ce serait intéressant de le faire intelligemment non ?
Nous devrions arrêter d’entendre les phrases de bar du type :
“Ben quoi mon secours ? Oui j’en ai un et je ne compte pas m’en servir !”
“C’est quoi ton secours ? Je sais pas je l’ai depuis quinze ans”
“J’hésitais entre les deux tailles, j’ai pris le plus léger et/ou le moins cher”
“T’as déjà fait un test d’extraction ? – un quoi ?! Ah… oh non, après faut refermer le bazar, ça me fait peur…”
5- Les bases d’un achat réfléchi
– Compatibilité du secours et du container utilisé, avec confirmation par un test d’extraction en portique
– Longueur du cône de suspentage du secours inférieure à celui de votre parapente
– Être un minimum précis sur son PTV, et choisir un secours en fonction. Si l’on change de pack de vol, peut être faut-il aussi changer son secours…
– La préconisation d’une charge alaire autour de 3 n’est pas à appliquer au kg près, l’idée étant simplement de s’éloigner un minimum de la charge max afin d’optimiser le taux de chute.
– Lors d’un achat neuf, ne pas hésiter à poser les bonnes questions à votre revendeur, et valider ensemble le choix logique du modèle et de sa taille.
– Lors d’un achat d’occasion, renseignez-vous sur la réputation du modèle, et éviter les choses farfelues. Il est possible de trouver un secours adapté, connu pour ses bonnes performances, et cela dans un budget inférieur à 250€. Ne pas se laisser tenter par une offre alléchante mais dont la taille ne permet pas de se placer correctement en terme de PTV !
Les alternatives au parachute rond
La coupole (parachute rond classique) reste à ce jour la plus simple des formes, la plus facile à plier, et elle a fait ses preuves lorsque l’on respecte la compatibilité voile/secours et une charge alaire raisonnable. Mais il existe d’autres formes.
Le Rogallo
En forme de coeur ou de papillon (c’était le nom du premier modèle sorti sur le marché par VONBLON). Il est dirigeable si bien mis en oeuvre ; il offre un taux de chute très performant. Cependant la mise en oeuvre peut être complexe, il ouvre souvent twisté, il est plus difficile à plier. C’est pourquoi il est souvent utilisé par des pilotes experts. Ceci dit, une fois la procédure comprise, et encore plus dans le cadre d’une utilisation voltige (placement dans un box d’évolution, avec de l’altitude de travail), il reste une excellente solution.
Le carré
C’est INDEPENDENCE qui a commencé sur ce créneau, et c’est très prometteur. Les temps d’ouverture sont excellents, la stabilité pendulaire améliorée par rapport au rond. Seul inconvénient : il est légèrement plus compliqué à plier, mais les constructeurs s’efforcent de simplifier cette partie.
Le rond-carré
Ce serait le juste milieu entre le carré et le rond ! Facile à plier et stable comme un carré. C’est Companion qui a commencé avec le SQR, d’autres arrivent sur le marché.
Le triangle
Le Triangle X-dreams amène une nouvelle forme depuis peu, avec un triangle qui est dirigeable.
Pour finir, voici quelques conseils en vrac
– Si cet article vous a parlé chinois, il est temps d’aller mettre son nez dans la théorie ! Les notions abordées ne sont pas compliquées et seront vite comprises en les étudiant.
– Attention à l’humidité dans vos containers, les vols sur site enneigés, ou herbe bien grasse humidifient les secours et collent les panneaux entre eux…
– Evitez autant que possible le mix humidité et chaleur, c’est ce que votre matériel déteste le plus ! Il préférera largement un stockage froid et sec.
– La longueur du cône de votre secours doit toujours être inférieure à celle du cône de votre parapente, on regrette d’ailleurs que ces informations sont parfois difficiles à obtenir.
– Jim Nougarolles (FLYEO – Annecy) déplore le manque de connaissance en ce qui concerne la chaîne matérielle des secours et les risques inhérents à de mauvais montages. N’hésitez pas à les faire vérifier si vous avez des doutes ; tout en profitant de l’occasion pour réaliser une simulation d’extraction. Dans l’action, il est primordial que les gestes soient automatiques et ne nécessitent aucune réflexion (extraction – lancer – affalement) !
– Le pliage est souvent perçu comme une tâche difficile, c’est faux ! Pas si complexe que ça, mieux vaut replier soi-même son secours souvent sans que ce soit fait au fer à repasser, plutôt que de le faire faire tous les deux ans auprès d’un pro par avarice. De nombreuses vidéos de pliage existent maintenant sur le web et sont bien faites. D’autre part, le pliage “usine” est souvent trop parfait et tend plus facilement à coller ; il convient de rapidement faire un premier repliage après un achat neuf.
Conclusion
Nous pourrions conclure par deux citations
François Ragolski insiste : “IL N’EST JAMAIS TROP TARD POUR TIRER UN SECOURS !” Nombreux sont les récits, certes effrayants, de pilotes ayant été sauvés par un secours tiré sous les 50m/sol« .
Jean-Marie Bernos de chez Nervures tempère cet article en nous ramenant à la réalité : “voler en sécurité, ce n’est pas forcément voler avec des équipements de sécurité…”. Le meilleur des secours, c’est surtout de ne pas avoir à en tirer un en volant avec des marges, et intelligemment !
Eric Varlet – Moniteur parapente – Auteur du Dossier Voltige ROCK THE OUTDOOR

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Le choix d’un parachute de secours n’est pas à prendre à la légère !
Le parachute de secours est fabriqué en tissu très léger. Déployé, ses mouvements sont très aériens. Un photographe russe l’a utilisé pour traduire la sensualité (voir la vidéo).
