“The Stunt is bike”, Eliot Nochez en course folle avec un VTT

“The Stunt is bike”, Eliot Nochez en course folle avec un VTT

The STUNT is back ou plutôt is bike !

En avril, Eliot avait déjà réalisé un premier épisode “The Stunt” avec le skieur Pierre Guyot se faisant larguer en parapente en mode James Bond. Un nouvel épisode vient d’être publié mais cette fois avec le partenaire VTTiste Kilian. Ensemble ils ont mis en scène une course un peu folle entre parapente et VTT, s’inspirant au départ de la scène célébre du vélo volant dans le film “E.T. l’extraterreste” de Steven Spielberg.

Eliot NOCHEZ fait partie du team acro Advance
Il vole avec la voile ADVANCE Omikron

Petit interview sur la réalisation de ce film

Eliot, comment t’est venue cette idée ?

Suite à mon premier film de l’hiver dernier, “The Stunt” avec le skieur Pierre Guyot  où on avait combiné “ski freestyle et parapente”, Kilian Bron (“l’homme qui roule à 100 km/h dans la poudreuse avec son vélo) m’a demandé s’il était possible de faire quelque chose de similaire avec lui à bicyclette. Après 3 secondes de réflexion : “Je ne sais pas, mais il FAUT ESSAYER!!!!”. On a fait les premiers essais, forts positifs, alors on a sorti les caméras.

Et pour le choix du site ?

Compliqué ! Il fallait que ce soit beau, que l’on puisse monter avec des ascendances, trouver un spot pas trop engagé pour le largage (qui reste relativement un peu chaud). Donc, je voulais un spot pas trop raide ou pas trop de cailloux. Il nous fallait aussi un terrain de jeu où on pouvait rider et jouer ensemble et, en bas du run, il nous fallait un champ parfait pour arriver à le récupérer ! Donc le bon degré de pente, assez propre pour que Kilian puisse rouler parfaitement, assez d’espace pour assurer une sécurité optimale et un arrière plan comme on les aime.

Combien de temps pour réaliser les images ?

Nous avons fait une journée d’essai pour le largage et la récupération puis une journée de repérage du choix du spot et ensuite deux journée de shooting.

As-tu des anecdotes à raconter ?

Mes tibias dans les roues de Killian sur les premiers décos, je m’en souviens bien. Aussi, un largage qui à merdé : il est resté accroché que d’un coté, “Dieu merci” c’était durant un entraînement sur l’atterrissage de Doussard donc rien de grave, mais cela nous a quand même mis quelque sueurs froides pour le jour J dans la montagne.

Kilian et son amour pour les “cratères” : le jour d’entraînement, après 30 secondes de ride, il faisait dejà des bisous aux cailloux. Le jour du shooting, j’ai dit en rigolant à tous les cameramans “cadrez bien, vous allez voir dans 10 secondes, il fait des pirouettes et ça n’a pas manqué, la preuve en images dans le film ! Mon coté “mesquin” m’a rattrapé puisque, 3 minutes plus tard, c’était moi qui venait embrasser la planète avec mon bassin armé de ma petite sellette “string” : sans gravité, juste de bonnes rigolades.

ROCK THE OUTDOOR, la culture parapente