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VELO / PARAPENTE… pourquoi choisir quand on peut faire les 2 ?

VELO / PARAPENTE… pourquoi choisir quand on peut faire les 2 ?

Nouveau délire de notre ami très sportif, Olivier Berzal. Le parapente, il adore, encore plus s’il arrive à combiner ses nombreux outils à brûler des calories. Après avoir testé le combo parapente et VTT, il a décidé cette fois d’emporter le vélo de route avec lui en vol : “Le plus tendu, c’est surtout de monter avec un vrai vélo de course dans des pistes carrossables et de revenir sur des vtt et vtt électriques qui mettent le pied à terre…c’est juste rigolo !”

Attention, cette pratique présente toutefois un danger. En effet, hors de question de se vautrer au décollage et à l’atterrissage avec tout cet attirail de fer et de carbone devant et derrière.

Ouvrir le champ des possibles, c’est prendre des risques (mesurés). C’est parfois avoir le sentiment de se jeter dans le vide. Oser. Expérimenter et accepter l’échec.

Suite au précédent essai surprenant et très enrichissant avec le vtt (voir article Vtt ou parapente ? Pourquoi choisir quand tu peux faire les 2 ?), l’idée était de réitérer l’expérience mais cette fois un vélo de route, en vue de belles “z’aventures écolo-responsables” (voir article 5 sites en vélo/marche et vole le même jour). Equipé du sac de ski alpinisme “Campack skin de 15 litres” avec, à l’intérieur, la UFO d’Air Design (mono-surface 18m²), le string EVEREST 3 de chez SUPAIR et les baskets sur le sac.

“Ça part de là” comme l’on dit chez nous dans le sud (400m de D+) : départ en vélo de l’attéro de Signes par les ruelles pittoresques du village “Provencao” et puis, rapidement, plus de bitume… Donc, piste caillouteuse en vélo de course à la poursuite des VTT musculaires et électriques… Que du bonheur (enrichissant aussi car aucune possibilité de se mettre en danseuse au vu de la pente marquée à faible adhérence).

Afin d’avoir une bonne répartition des poids entre l’avant et l’arrière (merci la précédente expérience😁) : déco avec le cadre du vélo fixé dans le dos, attaché aux fixations d’origine du sac… le top ; quant aux roues, elles sont fixées à l’avant de la sellette par un mousqueton… le top. Le process ainsi validé avec une évolution mineure (les roues attachées à la sellette par une longe sont descendues pour plus de confort en vol et remontées pour les phases “attéro/déco”).

Les enseignements des différents trips et essai vélo/parapente :

– faut faire des bornes pour ne pas avoir mal au “tafanari” et… des watts,
– pédaler/voler le plus light possible… hyper important pour la répartition des masses en vol et portage usant en vélo sur les longues distances,
– maîtriser le déco/attéro car le fait d’avoir des “z’outils” sur le ventre et dans le dos n’est pas anodin et sans danger,
– c’est bon pour la planète (pas de navettes polluantes… beurk) et pour son p’tit corps d’athlète.

CE N’EST QU’UN JEU, CE N’EST QUE DU SPORT,
“SPORTEZ”-VOUS ET PRENEZ SOIN DE VOUS ET DES AUTRES ;
MERCI LA VIE !

Olivier Berzal de la Team Air Design France

ROCK THE OUTDOOR, la culture parapente

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