Essai de la NIVIUK Hook 5, premières impressions de Samuel (EN B)

Essai de la NIVIUK Hook 5, premières impressions de Samuel (EN B)


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N’ayant pas encore réalisé de test sur la NIVIUK Hook 5, nous avons demandé à Samuel s’il acceptait qu’on partage son essai. Brièvement, Samuel est un jeune pilote qui a commencé le parapente en 2014. Après son stage d’initiation, le parapente est rapidement devenu pour lui une passion dévorante. Une progression fulgurante puisqu’il commence son DE cette année. Volant plus de 400 h par an, il vient de faire l’aquisition cette année d’une voile EN CCC et va participer à sa première PWC en Savoie (coupe du monde de Parapente).

Samuel prend encore du plaisir en redescendant de quelques catégories… Piqué NIVIUK depuis ses débuts, quoi de plus normal pour lui de prévoir un essai de la NIVIUK Hook 5. D’autant plus qu’il entretient un partenariat avec le fabricant : lorsqu’un produit sort, NIVIUK me demande de l’essayer et d’en faire un retour objectif. De manière spontanée, je dis toujours oui, car il est toujours intéressant de voir les nouveautés, les nuances et de revenir voler sur des ailes moins allongées. Plus ludiques….

Comme je le disais au début de l’article, nous n’avons pas encore eu le privilège de tester la NIVIUK Hook 5. Dommage car beaucoup de nos visiteurs le réclament.

Découvrons alors les appréciations de Samuel, ce pilote qui rêve de vivre du parapente et pourquoi pas devenir pilote test un jour. Si sa description nous permet d’avoir une approche dans un langage moins “marketé”, est-elle pour autant détachée ? Elle nous permet toutefois de dégager les principales caractéristiques de cette voile annoncée très soft par Cyrille Mark (voir la vidéo en bas de la page).

Voir le test de la NIVIUK Hook 5 par Cyrille Mark en bas de page

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Petit portrait de Samuel

Samuel, 21 ans, originaire d’Annecy rentre en formation DE parapente au printemps. Toujours dans le milieu du sport, il aime la montagne, la nature et a beaucoup de plaisir à partager ces moments magiques à travers la montagne.

Samuel a attaqué son premier stage en 2014 : “J’ai laissé passer la saison et j’ai repensé à ce stage, pour me dire que c’était trop génial et qu’il m’en fallait plus. J’ai donc acheté ma première NIVIUK Koyot en 2015, aidé par mon papa qui m’a mis en selle et qui m’a guidé sur mes premiers thermiques à la Forclaz . Il passe ensuite sous la Hook, l’Artik, puis la Peak et depuis cette année vole avec la NIVIUK IP Evox.

Samuel avec sa NIVIUK Klimber à Annecy

Ta pratique aujourd’hui ?

J’adore autant le cross country, la compétition, les vols randos et l’acro. Aujourd’hui, je suis sur une moyenne de 400 heures par an, toutes disciplines confondues. Je fais un stage SIV à chaque nouvelle voile et début de saison. Je bouge dans pas mal d’endroits avec les compétitions et les voyages. Je suis parti l’été dernier en Grèce et en Italie pour des pré-coupe du monde, sinon à Madeira, Afrique du sud, Suisse / interlaken. Et à travers la France, les Vosges, les Pyrénées, Alpes du sud,…

Ton père est un professionnel du parapente, me semble-t’il ?

MOui, mon père, Patrick AVENNE, était pilote test dans les années 90 et membre de l’équipe de France (avec les vieux formats compétitions). Puis il a créé sa structure de SIV et d’école. Il est maintenant biplaceur sur Annecy. Il ne souhaitait pas particulièrement que je me mettre au parapente. Il m’a demandé de lui promettre que ça ne deviendrait pas mon métier. Résultat, c’est en train de le devenir.

Samuel avec sa NIVIUK Evox

Quelles sont tes ambitions et futurs projets en parapente ?

Devenir moniteur parapente, pilote test pour une marque que j’affectionne… Champion du monde un jour peut être… Créer ma structure de parapente et l’implanter à l’étranger.

Que t’apporte le parapente ?

Un sentiment de liberté, de partage, d’évasion, je dois être à 120 % dans mon activité sur le moment présent, ce qui m’oblige à sortir de tous mes problèmes du quotidien, et autres. Et de consacrer tout mon esprit uniquement à ma passion.

Matériel

Samuel  vole avec une NIVIUK Icepeak Evox et une KORTEL Kanibal Race 2 pour la compétition et avec une NIVIUK Klimber et une Kolibri pour le vol bivouac et hike& fly.

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Essai de la NIVIUK Hook 5 réalisé par Cyrille Marck

Une présentation originale avec une tecchnique de prise de vue 360°. Intéressant pour bien voir la voile pendant les manoeuvres mais difficile pour apprécier son comportement en vol normal !

Conclusion : une voile hyper soft destinée aux pilotes qui veulent une voile EN B pour faire leur progression en toute sécurité.

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