Voler utile : participez à la reforestation des zones que vous survolez !
“Est-il utopique de penser qu’il est possible de rendre une infime partie à notre terre nourricière ?
Depuis le début de la saison des abricots, je conserve et sèche les noyaux afin de leur trouver une utilité :
– En vol solo : les noyaux sont “semés” de manière aléatoire,
– En biplace : je demande au passager de penser très fort aux personnes qui comptent vraiment à ses yeux et de prendre dans “la réserve” le nombre de noyaux d’abricots correspondant. Une fois en vol, je lui propose de “semer” les noyaux d’abricots en ayant une pensée pour ces personnes.
Même si une infime partie germe, cela sera déjà très bien.Ce cheminement est fort intéressant à l’image du pilote comme Nicolas Plain ou encore Antoine Boisselier, Olivier Peyre, Julien Irilli et bien d’autres.
Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants”
Olivier Berzal
Assurez-vous que les semences que vous répandrez correspondent bien au biotope que vous survolez. Si ce n’est pas le cas, soit il ne se passera rien ou, au contraire, les plants risqueront, par exemple, d’entrer en concurrence avec les espèces déjà en place. Le mieux, se renseigner auprès des Eaux et Forêts.
Sur cette vidéo, il est probable que peu de noyaux d’abricots lancés au dessus de cette forêt germent, donc pas de risque d’envahissement…